Florence Jalabert

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jeudi, janvier 12 2012

20 minutes de pratique suffisent à retrouver de l'énergie

La sophrologie peut aider de deux manières un organisme fatigué. D'une part en permettant au corps de récupérer facilement sans forcément passer par une bonne nuit de sommeil ; d'autre part, en agissant sur le cerveau pour favoriser la détente.

En fait, une séance de 20 minutes de relaxation par la sophrologie équivaut environ à 2 à 3 h de sommeil. "C'est d'ailleurs ce que pratiquent les navigateurs en solitaires qui ne peuvent pas dormir plusieurs heures d'affilée, explique Catherine Aliotta. Mais attention, la sophrologie ne remplace pas le sommeil : si vous êtes épuisé, il faut dormir, la sophrologie n'y fera rien."

La sophrologie est aussi physiologique : pendant la séance, le cerveau reçoit les signaux de récupération (ralentissement du rythme cardiaque, diminution de la température du corps, élimination de l'excès de sucre dans le sang, détente musculaire). Ainsi, elle indique au cerveau qu'il faut mettre le corps au repos.

Comme on monopolise le mental à imaginer des choses agréables, ça va beaucoup mieux. On se défocalise de ses problèmes, du stress et de la fatigue pour quelques minutes de repos total.

"La sophrologie est donc utile pour régénérer le corps mais également dans le quotidien en cas de baisse d'énergie (après un repas, par exemple) pour relancer la dynamique dans le corps", précise la sophrologue.

Dossier réalisé par Gaëlle Monfort, Journal des Femmes

Bouddha

"Le secret de la santé mentale et physique, c'est de ne pas se lamenter sur le passé, de ne pas se préoccuper du futur et de ne pas devancer les problèmes, mais de vivre le présent de façon sage et sérieuse."

vendredi, novembre 18 2011

Article publié dans les Echos le 26/10/2011

La stabilité émotionnelle : une compétence clé des managers

Tandis que les changements se multiplient, les managers plient sous le poids des émotions qui les dirigent. Paniqués et dans l’incapacité à dépasser leur peur, ils peinent à gérer celles de leurs collaborateurs. Que faire pour que rapidement demain, ils sachent gérer leurs affects et offrir le meilleur d’eux-mêmes ?

« J’ai été nommé manager car j’avais une solide expertise technique. Je pensais que cela suffirait à encadrer une équipe », nous raconte Charles, responsable juridique au sein d’un groupe bancaire. Penser que la seule compétence technique puisse suffire à manager une équipe est une erreur communément partagée par les directions d’entreprise. Dans les faits, un bon commercial fait rarement un bon responsable des ventes.

Pour combler cette lacune, certaines directions proposent à leurs cadres nouvellement nommés des formations aux techniques de management : communication, conduite d’entretien, animation de réunions, etc. Quid des anciens ?

Les compétences acquises s’avèrent peu utiles, quand le manager n’est pas stable émotionnellement. S’il a peur ou s’il est en colère, savoir recadrer ou conduire une réunion lui sera de peu de secours car, quel que soit l’outil qu’il utilise, celui-ci n’est rien sans la main qui le guide. Si la main tremble ou si elle est agressive, quels résultats obtiendra-t-il de son savoir-faire auprès de son équipe et de chacun de ses collaborateurs ? Il est donc crucial pour un manager de posséder cette stabilité affective.

« Six mois après ma nomination, j’ai du mettre en œuvre un changement d’organisation du travail au sein de mon service. J’ai dû gérer les états d’âme parfois violents de mes collaborateurs et faire face à la fuite, à la manipulation et à l’agressivité. J’avais appris ce que je devais faire dans ces cas-là, pour autant je restais tenaillé par la crainte. Tous mes comportements agressifs étaient dictés par le seul objectif de sauver ma peau », témoigne, Jean, troublé à l’évocation de ces souvenirs. Il démissionna quelques mois plus tard, laissant l’équipe dans un état de délabrement psychologique avancé. Ses collaborateurs avaient pâti d’être durant une année le réceptacle de ses émotions négatives. Ils avaient cessé d’agir.

Comme le souligne Dominique Cufi directrice de l’université d’entreprise de la Macif : « la compétence clé des managers de demain sera leur capacité à gérer leurs émotions  et celles des autres ». Cela est d’autant plus important et urgent que les entreprises font face à de nombreux changements qui plongent les salariés dans l’incertitude. A défaut, la baisse des performances économiques, financières et sociales est inéluctable et induit l’apparition de plusieurs pathologies telles que le stress, le syndrome du rescapé, la dépression, etc.

Alors que faire pour donner à nos cadres cette compétence essentielle ?

Etre stable. Outre les aptitudes relationnelles nécessaires à la fonction, la première compétence à repérer chez un futur manager, est cette capacité à ne pas se laisser submerger par ses affects quand survient une situation difficile. Ainsi, tel salarié qui montre beaucoup de solidité affective dans un contexte de forte tension doit être identifié par son hiérarchique et mis dans un vivier de candidats « potentiels » au poste d’encadrement. Pour autant, si cette aptitude n’est pas innée, elle peut être acquise par le biais d’une formation.

Se former. Comme le souligne Patrick Lebreton, sophrologue et spécialiste de la gestion du stress : « Un manager peut apprendre à gérer la pression et celle des autres par des attitudes quotidiennes ». Acquérir la compréhension des mécanismes du stress et des différences réactionnelles propres à chaque personnalité est un des éléments clés pour gérer ses états émotionnels. Au cours de cet apprentissage, le manager s’exerce à percevoir les signes d’un niveau élevé de stress chez ses collaborateurs et à avoir les gestes appropriés pour limiter la pression et les risques psychosociaux. Ces repères comportementaux ou physiologiques l’aident à réguler la tension au sein de son équipe.

En travaillant à réguler son stress, il apprend à développer la sérénité et la performance dans le collectif. Il transforme le stress négatif en énergie positive, ce qui se traduit généralement par une motivation accrue et plus de créativité. Cette compétence acquise au cours du stage doit être entretenue par un entrainement régulier.

S’entraîner régulièrement. Progresser dans l’action par l’exercice régulier des aptitudes nécessaires à la gestion du stress confère au manager une autorité légitime sur la situation et sur l’équipe. Cette compétence à rester stable sera entretenue par des exercices quotidiens de visualisation, de respiration, d’attention à soi et à l’autre. En travaillant ces différents apprentissages, le manager se prépare à gérer l’imprévu et à agir rapidement, sans tension. Par l’entrainement, il fait de l’inattendu un fait ordinaire sur lequel il agit en toute sérénité. Calme intérieurement, il transmet sa force à l’équipe et lui donne l’opportunité de conserver toute sa puissance intellectuelle et affective pour surmonter une situation qui lui était au départ défavorable.

Avoir une hygiène de vie. Gérer son stress, c’est prendre la précaution d’offrir à son corps toute l’énergie dont il a besoin et qu’il puise dans le sommeil, l’hygiène alimentaire et l’entretien physique. La première action consiste à reposer son corps à travers une nuit de sommeil dont le quota d’heures doit être respecté. Le manager doit savoir quitter son corps le soir pour l’alléger, le ressourcer et le retrouver plein d’énergie au petit matin. C’est déjà un premier pas pour être stable sur le plan émotionnel.

La deuxième action est de donner au corps les nutriments nécessaires à l’aide de repas équilibrés. C’est rarement le cas pour les cadres, tant les conditions professionnelles leur sont peu favorables : surcharge de travail,  salaire, environnement, etc. Ils déjeunent généralement sur le « pouce » ou trop vite, quand ce ne sont pas les aliments ou boissons pris qui favorisent l’apparition de tensions psychologiques et donc du stress. Conscientes de cela, certaines entreprises ont banni toute boisson alcoolisée des plateaux repas.

La troisième action est d’entretenir son corps par une activité physique qui favorise son ressourcement ainsi que celui de son esprit. Les enquêtes médicales montrent qu’un salarié ayant une activité physique régulière est moins sujet au stress qu’un autre.

Pour autant, le manager doit savoir s’adapter aux contraintes de la vie professionnelle afin d’éviter la fatigue, les tensions musculaires et le stress. Pour ce faire, il doit avoir la volonté de se ressourcer par des micro-siestes, des techniques de récupération rapide dans les temps « faibles » du travail et de gérer son activité en fonction de son rythme biologique.

Les entreprises qui participent au ressourcement des managers en leur proposant une alimentation appropriée ainsi que des salles de sport et de repos sur le lieu de travail sont encore trop minoritaires.

Gérer ses émotions est un apprentissage incontournable pour surmonter les obstacles d’un métier où les cadres sont peu protégés et peu autorisés à agir. Pris entre deux niveaux hiérarchiques, ils doivent être capables de donner le rythme sans mettre sous pression leurs collaborateurs, au risque de les perdre. Les directions d’entreprise font de mauvais calculs en occultant d’investir dans le bien-être au travail allant même jusqu’à même jusqu’à penser qu’un cadre « non stressé » est un cadre qui «ne fout rien».

Car que coûte annuellement la baisse de performance d’un salarié stressé par son chef quand celui-ci n’est plus qu’à 50% de ses capacités ? Que coûtent les arrêts de travail, l’absentéisme et l’intérim pour remplacer les personnes malades ? A l’inverse, que rapporte à l’entreprise la formation d’un cadre à la gestion du stress qui lui donnera la capacité de mieux gérer les obstacles et la performance de l’équipe ? Que nos directions d’entreprise fassent un rapide calcul et elles découvriront l’énorme rentabilité à avoir des managers satisfaits et stables émotionnellement. Les former dans ce sens est à coup sûr un bon investissement.

Stress au travail et sophrologie au 20h de France 2

Un arrêt maladie sur deux serait dû au stress. Voici comment David Pujadas a proposé dans son journal du 09 novembre 2011 un reportage sur le bien-être en entreprise et les moyens mis en place par certaines d’entre elles pour contrer ce "fléau".

http://info.francetelevisions.fr/video-info/index-fr.php?id-video=cafe_HD_20h_20111109_57_09112011212933_F2&timecode=959&endtimecode=1973

mercredi, octobre 12 2011

SEANCE COLLECTIVE DE SOPHROLOGIE

A compter du vendredi 04 novembre 2011 puis tous les vendredis de 19H15 à 20H15

A "Sport Academy Training" 16 avenue Colbert à Toulon

Ouvert à tous, sans conditions

15€/séance

Venez nombreux....

vendredi, juin 10 2011

''Le jour où je me suis aimé pour de vrai'' (texte de Charlie Chaplin)

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles. Charlie Chaplin.

mercredi, mai 11 2011

Isaac Newton

"Il est vain d'user du plus, là où le moins suffit."

lundi, avril 4 2011

La sophrologie, outil anti-stress

Les mille pressions de la journée vous stressent ? Même si vous avez l'âme combative, vous risquez d'épuiser vos ressources et, in fine, de tomber malade. « La sophrologie est une technique de relaxation efficace pour gérer votre stress », assure Michèle Freud, psychothérapeute, sophrologue, auteur de « Réconcilier l'âme et le corps, 40 exercices faciles de sophrologie » (Albin Michel, 2007).

Créée en 1960 par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo, la sophrologie se sert du pouvoir du mental et de l'imagination comme outil d?évolution. Lors de séances de relaxation, installé dans un endroit tranquille, où vous ne risquez pas d'être dérangé, vous plongez dans un « état de conscience modifié », situé entre la veille et le sommeil. Vous respirez amplement, de façon régulière (voir encadré) et vous visualisez, par exemple, un rendez-vous professionnel important. Vous passez tout en revue : l'éclairage de la pièce, les bruits ambiants, l'atmosphère, la gestuelle de votre interlocuteur. Et surtout vous imaginez une situation positive. Vous voyez cet entretien se dérouler à merveille, se conclure par un accord optimal. Vous vous programmez pour la réussite. Cet état particulier, également appelé « sophro-liminal », vous permet d'arriver beaucoup plus détendu le jour J, car vous aurez libéré vos tensions en amont, lors de vos séances de relaxation. Les apports de la sophrologie sont multiples.

- Cette discipline permet d'être plus à l'écoute des messages du corps. Bientôt, «vous reconnaîtrez d'emblée cette petite voix intuitive à l'intérieur qui signale un déséquilibre, au lieu de la bâillonner avec des tranquillisants », explique Michèle Freud.

- Plus attentif à vous-même, vous êtes davantage ancré dans le présent. Cela décuple vos capacités d'assimilation, de concentration et de mémorisation.

- « La sophrologie modifie votre tonus musculaire et l'activité de votre système neurovégétatif », constate la spécialiste. Du coup, vous récupérez plus vite et dormez mieux. Votre créativité se développe chaque jour davantage.

- Au fil des séances, vous vous reprogrammez positivement. Et vous constatez que vos sempiternelles ruminations mentales (« je suis médiocre, pas à la hauteur, tous les autres sont meilleurs que moi? ») diminuent de façon imperceptible. Une nouvelle façon de voir la vie s'ouvre à vous.

samedi, avril 2 2011

Journée de détente

Journée de détente et d'échange sur le stress


Tout savoir sur le stress afin de ne plus le subir !

Cet atelier se déroulera dans une ambiance conviviale, dans le respect

de soi et des autres, en toute neutralité et confidentialité.

Samedi 18 juin 2011

lieu : 82, rue Jean Jaurès à Toulon

Atelier ouvert à toutes et à tous, quel que soit le niveau de connaissance préalable.

Programme 10h – 17h :

  • Présentation de la journée

  • Découverte des attentes des participants

  • Le stress : expliqué et compris

( Les mécanismes du stress, le cerveau, les traitements,...)

  • Outils pour gérer le stress

(des mesures simples pour prendre soin de soi)

  • Séance de sophrologie

  • Bilan des apports de la journée.

Informations complémentaires

Repas non inclus (pause de 12h30 à 14H)

Nombre de places limité (15 max.)

Coût : 99 €

comprenant les collations.

lundi, février 7 2011

Chèque TERRA BIEN ETRE

Florence Jalabert / sophrologue
Principaux soins proposés
Relaxation, développement personnel, Sophrologie / respiration / reiki 
Ce lieu est partenaire des produits TERRA BIEN ETRE ci-dessous :
Chèque Bien Etre
 
Dictionnaire
 
CHEQUE TERRA BIEN ETRE 15€ FEMME & HOMME FEMME & HOMME
  • Le CHEQUE BIEN ETRE est valable dans plus de 2000 lieux en France entière !
    Balnéo, centre d'amincissement, institut de beauté, salon de coiffure, spa, thalasso... <

mardi, février 1 2011

contre le stress du BAC ! www.lepoint.fr

Société

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AFP - Publié le 12/06/2010 à 12:03

Contre le stress du bac, coaching et sophrologie au lycée

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Contre le stress du bac, coaching et sophrologie au lycée

Romain a défini ses objectifs - le bac, puis le retour dans le village familial - et a adopté un vocabulaire que ne renierait pas sa coach : "Je suis en bas de la montagne, mais j'ai pris le piolet et il ne me reste plus qu'à grimper", lance-t-il.

"Pour atteindre la cime des arbres, il faut viser les étoiles": l'incantation est énigmatique, voire mystique, mais elle a le mérite de convaincre Romain, 18 ans, qui s'en est remis à une coach pour combattre son stress à l'approche du baccalauréat.

Depuis septembre, des séances de coaching sont prodiguées gratuitement au lycée Champlain de Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), et à quelques jours du début des épreuves, l'heure du bilan et des ultimes recommandations a sonné.

La coach Corinne Maarek alterne encouragements mystiques - "Tu te vois" - et petites astuces pratiques - "Fixer un point pendant l'examen" - pour regonfler l'ego de Romain qui en avait bien besoin.

Après un premier échec au bac l'an passé, il avait pensé "tout laisser tomber". Sans trop y croire, il s'est tourné vers les séances de coaching organisées le mercredi après-midi dans cet établissement de 2.000 élèves planté en pleine Zone urbaine sensible.

"C'est sûr que c'est un truc à la mode. Il y a des coachs pour tout, pour apprendre à cuisiner, etc... C'est un peu +space+ (étrange, NDLR) mais je me suis dit : +pourquoi pas?", raconte le lycéen.

Quelques séances plus tard, une mue s'est opérée.

Romain a défini ses objectifs - le bac, puis le retour dans le village familial - et a adopté un vocabulaire que ne renierait pas sa coach : "Je suis en bas de la montagne, mais j'ai pris le piolet et il ne me reste plus qu'à grimper", lance-t-il.

Assise à ses côtés, Garance n'a ni le même profil, ni les mêmes angoisses.

A 16 ans, elle passe son bac économique et social avec un an d'avance mais cette jeune fille au regard mélancolique manquait de confiance en elle. "J'avais du mal à me trouver", confie-t-elle.

L'idée de postuler pour la prestigieuse faculté de Dauphine, à Paris, lui semblait insurmontable. "Je ne pensais pas me mesurer à des gens d'Henri IV alors que je viens d'un lycée pas terrible", dit-elle.

Après huit séances de coaching et quelques concepts ésotériques ("le cercle d'excellence"), la jeune fille se voit changée. "Je n'ai plus envie de plaire à tout le monde", dit-elle.

En septembre, sur les conseils de sa coach, elle s'était écrite une lettre à elle-même. Et en relisant la missive aujourd'hui, elle dit ne "plus trop aimer la personne qu'elle était".

A Champlain, les allergiques au coaching peuvent choisir une autre méthode de relaxation : la sophrologie.

"Ce sont les mêmes techniques utilisées pour soulager les femmes enceintes et faciliter l'accouchement", fait valoir Catherine Aliotta, qui propose ses services dans le lycée depuis cinq ans.

Ici, on apprend à maîtriser sa respiration, à détendre ses muscles et à apprivoiser son corps. "On accueille cette petite sensation de picotement au niveau du cou", souffle d'une voix douce Mme Aliotta à ses deux cobayes du jour.

Elève en terminale scientifique, Jessica a l'impression de "jouer sa vie à chaque examen" et elle a désormais "une issue de secours en cas de grand stress".

Sa collègue du jour, Maëva, 16 ans, puise dans la sophrologie pour régler ses "problèmes de concentration". "Mon attention se détourne au moindre bruit et geste", raconte cette candidate au bac français.

Selon le proviseur José Rémy, ces ateliers ne constituent pas "un remède miracle" mais ils ont une vertu : "combler un vide dans l'Education nationale qui n'a guère le temps de s'occuper du bien-être des élèves".



samedi, janvier 29 2011

Edgar Morin

"A force de sacrifier l'essentiel pour l'urgent, on finit par oublier l'urgence de l'essentiel."

mardi, janvier 25 2011

Jean Domat

"Trois choses pour être heureux : le corps sain, l'esprit libre et le cœur pur."

samedi, janvier 22 2011

Tacite Publius Cornelius

"On loue toujours le passé et l'on oublie le présent."

vendredi, janvier 21 2011

Malesherbes

"On ferait beaucoup de choses si l'on en croyait moins d'impossibles."

mercredi, janvier 19 2011

Bernard Fontenelle

"Le plus grand secret du bonheur, c'est d'être bien avec soi."

mardi, janvier 18 2011

Sertillanges

"Qui connaît le prix du temps en a toujours assez."

dimanche, janvier 16 2011

Gandhi

La planète compte suffisamment de ressources pour répondre aux besoin de tous, mais pas pour satisfaire le désir de possession de chacun.

vendredi, janvier 14 2011

Fédération française de sophrologie (FFDS)

Vous recherchez un(e) sophrologue près de chez vous n'hésitez pas à consulter l'annuaire sur le site de la FFDS : federation-sophrologie.org

Vous découvrirez par la même occasion des informations sur la sophrologie, l'école....

Soldat de retour d’Afghanistan : la sophrologie pour décompresser

Dans un article de ouest-france.fr , nous apprenons que l’armée et la gendarmerie françaises font appel à la sophrologie pour
soutenir et aider leurs hommes.

C’est ce dont à bénéficier Le major Joël Lorre, revenu d’Afghanistan à la fin du mois de novembre ou il a formé des policiers.

Ce sous-officier a passé 6 mois en Afghanistan, où 53 militaires ont déjà perdu la vie.

Il est un habitué des déplacements à l’étranger. Il en a effectué plusieurs dans sa carrière.

Les hommes rentrant de ce type de mission très stressante effectuent, lors de leur retour, une escale de plusieurs jours à Chypre où

ils décompressent. Ils sont notamment aidés dans cette démarche par un sophrologue et un psychologue.

Source : www.ouest-france.fr

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